Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques

 

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Le but de la Fondation iFRAP (Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques) est d’« effectuer des études et des recherches scientifiques sur l’efficacité des politiques publiques, notamment celles visant la recherche du plein emploi et le développement économique, de faire connaître le fruit de ces études à l’opinion publique, de proposer des mesures d’amélioration et de mener toutes les actions en vue de la mise en œuvre par le Gouvernement et le Parlement des mesures proposées ».

1985 : Création de l’iFRAP, un Think tank, chargé d’évaluer les administrations publiques, d’inventer les services publics de demain et de développer la création d’entreprises et l’emploi.

2009 : L’iFRAP est reconnue d’utilité publique et devient la « Fondation iFRAP« , par décret du Premier ministre publié au JO. [Voir les comptes 2014 publiés au Journal Officiel]

Déontologie

Entièrement dédiée à la recherche sur les politiques publiques, la Fondation iFRAP est intégralement financée par la générosité privée ; ceci la rend totalement libre de parole, de ses axes de recherche et de ses propositions de réformes.

Une méthode : des propositions concrètes

La Fondation iFRAP est composée d’une quinzaine de chercheurs, pour moitié bénévoles, dont Agnès Verdier-Molinié est le Directeur. Bernard Zimmern est Président d’honneur.

Cette équipe possède des compétences variées et pointues en économie, finance, droit, fiscalité, statistiques… Les recherches produites par la Fondation sont publiées chaque mois dans sa revue Société Civile, dont Sandrine Gorreri dirige la rédaction.

Une expertise reconnue

Avec en moyenne plus d’un passage par jour dans les médias, la Fondation iFRAP est la plus sollicitée de tous les think tanks par la presse économique, mais aussi par les radios et les télévisions. Les chercheurs de la Fondation iFRAP interviennent également dans des conférences, en audition au Parlement et rencontrent régulièrement les conseillers ministériels en charge des réformes en cours.